Bref, la femme du cordonnier, pour quelques euros m'a comblé de bonheur... Ne vous méprenez pas bandes de sauvages, elle a simplement cousu le sacro-saint écusson du Bourbon Moto Classic.
Elle l'a cousu à la machine en incluant la doublure de la poche. Elle m'a expliqué que sinon il lui fallait tout découdre et sur ce coup là, ça l'inquiétait un peu.
Bel écusson que j'arbore désormais fièrement.
Il faut avouer que l'ensemble est homogène et retrace bien l'histoire d'une vie... Il faut que j'arrête la boisson... Je sombre dans l'analyse introspective!
On lit dans mon blouson comme dans un livre ouvert...
Seconde peau, il dégage une odeur mêlée de phoque (graisse) de sueur et de tanin. Il porte certaines griffures dues à des contacts avec fer ou béton (pas d'asphalte pour l'instant!!!). Il supporte des insignes reconnaissables et lisibles par quelques initiés.
Une vie de blouson, un pan de vie de motard...
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